Marche Mariale

Marche Mariale vers le CAP
                   Diocèse de Sherbrooke

Historique des débuts

Groupe de Sherbrooke

Depuis 1988 déjà, bon nombre de pèlerins marchaient avec le groupe du diocèse de Nicolet. Environ 25 personnes, qui effectivement étaient du diocèse de Sherbrooke, acceptaient l'invitation de l'abbé Jean-Paul Fleurant, animateur spirituel, de former un nouveau groupe car le groupe initial était devenu trop grand et cela posait des problèmes pour les haltes, les repas, les couchers et les toilettes surtout.

Donc, dès 1991, le diocèse de Sherbrooke a son groupe de pèlerins et pèlerines qui marcheront durant 9 jours vers le Cap-de-la-Madeleine.

Halte
La présidence du groupe sera confiée à René et Réjeanne Pellerin, qui avec l'aide d'une nouvelle équipe, composèrent un fort groupe de plus de 49 personnes qui, après la Messe de départ et la bénédiction des marcheurs à l'église St-François-d'Assise, prenait le départ pour une longue marche de 195 kilomètres de Sherbrooke au Cap-de-la-Madeleine.

Quels beaux souvenirs, tous les pèlerins et pèlerines se souviendront de votre humble serviteur comme coordonnateur, de Gérard et Réjeanne pour l'animation des messes et activités de détente, René Pellerin était là pour la disposition de l'écran et des instruments musicaux.

Les gourmands se rappelleront de nos cuisinières Gisèle et Léonide, assistées de Méa Mayrand et de notre ami Raoul (Pit) Poitras, de Paul Dubois au transport, Claude Bélisle et ses aides au soutien des marcheurs sur la route, Roger Duchesneau et ses assistants à la sécurité.

On ne peut pas oublier Marie-Jeanne Poitras pour les soins des petits bobos et des pieds. Il y avait aussi notre bon ami Edmond Couture pour le service des haut-parleurs (les flûtes) et la batterie. Notre ami Raymond Dodier à toutes les sauces.

L'animation sur la route passait par notre Claire Gosselin, Jeanne et Thérèse Dauphin, Thérèse Poiré, Rodrigue Bergeron et les autres. On se rappelle aussi de René Dauphin et Jean-Guy Beauregard comme guides et porte-drapeaux de sécurité. Et la Croix, c'était le travail de Conrad Martin. La Vierge se promenait dans les bras de ses enfants toujours assez nombreux.

En marche
Notre jeune Marie-Ève nous donnait le pas à suivre en cadence. Ma petite mémoire oublie sûrement des gens qui étaient en service, soit au sac à intentions, nettoyage des lieux, etc. Je m'excuse pour les oublis !

Mais jamais je n'oublierai ce beau groupe de pèlerins et pèlerines, marchant, chantant et priant avec ferveur jour après jour pour enfin arriver à destination et goûter à l'accueil de ceux et celles qui nous attendaient au Cap-de-la-Madeleine et s'agenouiller pour se recueillir aux pieds de Maman Marie dans le petit Sanctuaire.

Dans l'église
Année après année, le même scénario se répète avec des gens différents, mais toujours avec la même générosité, que de travail en équipe, que de partages et que de joies renouvelées étape après étape. Chacune des messes est un précieux souvenir, chacune des haltes chez ces gens qui nous recevaient nous font voir la vraie générosité, chaque église visitée nous donne une riche vision du savoir-faire de nos ancêtres.

Devant l'église
Pour de si beaux souvenirs, on vous doit un immense « Merci ! »

Votre ami, Gilles Pratte